Une biopile fournira-t-elle un jour assez d’énergie pour alimenter un pacemaker ? Cette prouesse pourrait devenir possible grâce à des chercheurs français de l’Institut des Sciences Moléculaires (CNRS / Université de Bordeaux / Bordeaux INP) et du Centre de Recherche Paul Pascal (CNRS / Université de Bordeaux) et à une équipe allemande (Université de Stuttgart / Institut Max Planck) qui ont réussi à augmenter le voltage d’une biopile en y insérant un système microélectronique. Cette première démonstration de « chelectronics », alliant chimie et électronique, est publiée dans Nature Communications.
Lire l'article complet sur le site de l'Institut de Chimie du CNRS